El Salvador, le petit d'Amérique - ToineTraveller

El Salvador, le petit d’Amérique

Vu la taille modeste du Salvador et la durée relativement courte de notre séjour, j’ai décidé de regrouper toute notre aventure dans un seul article. Ce petit pays souvent négligé par les voyageurs mérite pourtant une attention particulière. En seulement 7 jours, nous avons eu la chance de découvrir des trésors cachés. De vivre des expériences uniques dans un cadre encore préservé du tourisme de masse. Alors, plongeons dans ce récapitulatif de notre périple à travers un pays que peu de monde prend le temps d’explorer. Prépare-toi à être surpris par la beauté et l’authenticité de El Salvador, le petit d’Amérique Latine. Véritable joyau au cœur de l’Amérique Centrale.

Arrivée à El Salvador et galère !

Alors pas de suspens. Quand on a posé les pieds à notre hôtel Esteban et moi, on s’est vite rendu compte d’un problème… Et pas des moindre : impossible de retirer quelconques dollars ! C’est un sacré problème me direz vous, et vous n’auriez pas tord.. J’ai rarement eu le sentiment d’être sans rien mais là c’était sûre, on était dans la ***** !? Notre arrivée dans El Salvador, le petit d’Amérique démarrée mal.

Du coup tout s’est très vite enchaîner dans nos tête. Comment on va manger ? Pour aller à la ville la plus proche ? Comment on va payer les hôtels ? Comment ??? C’était la panique à bord, surtout pour le plus terre à terre de nous deux. C’est à ce moment là que j’ai décider de prendre les choses en main et de stopper la frayeur. Choix 1, on va faire du stop. Advienne que pourra et on se débrouillera. Choix 2, on retourne au Guatemala. Alors à votre avis quel fut notre choix ? Ouiii bien vu ! On a fait du stop !!

Une nouvelle façon de faire des économies

On va pas se mentir, quand on a peu ou plus d’argent c’est le luxe de faire du stop. Donc après avoir usé nos derniers 5 dollars pour un taxi vers la ville la plus proche, on s’est dirigés à la sortie de la dite bourgade. On s’est posé fièrement prêt de la route et hop pouce tendu a regarder défiler les voitures. Les unes après les autres… C’est parfois long, très long, très très long d’attendre une âme charitable.

Heureusement pour nous, une camionnette s’est arrêté et nous à rapprocher grandement de notre destination suivante. On a fait prêt de 26km grâce à eux (et c’est pas le mieux qu’on est fait) ! Ils nous ont donc déposer à une station service à 7km de notre destination.

Auto-stop en camionette

La délivrance

Arrivés à la station essence, on décide de se prendre à boire avec Esteban. On entre donc dans la boutique et après avoir payer (par carte) on se rend compte que y’a 2 ATM dont 1 qu’on a pas encore vu dans la ville précédente (on avait fait tout les machines de la ville). Sans trop y croire, on tente de retirer quelques billets… Et là c’est la surprise totale ! On a réussie !! On s’est donc, à ce moment là, rendu compte que l’on pouvait retirer uniquement dans les ATM rouge avec comme nom : BAC.

Maintenant qu’on avait la possibilité de retirer de l’argent, on s’est vite posé la question du déplacement. Mais après réflexion on à décider de continuer l’expérience auto-stop qui en plus d’être économique, nous rapprochais un peu plus de l’expérience du voyage « libre ».

Acajutla

Petite ville côtière très sympathique. Après avoir été déposer par un gentil jeune homme, on s’est dirigé vers l’océan, objectif : trouver dequoi dormir. Après quelques longues minutes on a enfin trouver un hôtel qui louer des chambres plus économique juste à côté. Qui dit économique, dit strict minimum. Ici point d’air conditionné et eau chaude, les toilettes et la douche partage le même espace sans être séparé par ne serait-ce un rideau.. que nenni ! Mis à part aller nager et manger dans un restaurant très rustique mais aussi très bon et pas cher (4$ par personne), on a rien fait de très intéressant et on s’est donc diriger le lendemain en direction de l’étape suivante :

La Libertad

Alors avant de commencer à parler de cette ville, remettons nous dans le contexte : on a maintenant de l’argent mais on veut voyager en stop. Donc après avoir quitter Acajutla et avoir marcher 2km sous un soleil de feu,on s’est posé sur le bord de l’autoroute. Après 45min de pouce en l’air, j’avais qu’une envie : abandonner et prendre le premier bus qui passe. En parlant de bus, il y en a bien un qui s’est arrêter prêt de nous et enclin à gentiment nous faire monter à son bord sans payer. ! Oui, oui, un bus nous à accepter gratuitement. Après faut aussi comprendre que ce n’est pas n’importe quel bus. C’était un bus de police !! Oui vous avez bien lu, on a été pris en stop par un bus de la police…

Après nous avoir tranquillement déposés à une station service (encore), on a décider de forcer un peu plus le destin. J’ai eu la merveilleuse idée de ne pas jouer du pouce sur le bord de la route mais d’accoster directement les gens. Info : ça marche de ouf ! Après 2 ou 3 refus, un vieux monsieur nous a accueilli à l’arrière de son pick-up et nous à embarquer pour une virée de prêt de 60km !! Merci monsieur !

Suite du voyage

Après 3 auto stop, beaucoup de marche, et pas mal de soleil on est enfin arrivé à La Libertad. J’avais qu’une seul envie c’était de me baigner sur la côte pacifique et retrouver mon jeu favori : me prendre des vagues en pleine tronche. Cependant, à mon grand désarroi, la plage était faites de gros galets bien glissant et pas très accueillants. Grande déception pour moi. On a décider de s’y arrêter 2 jours pendant les quelle je me suis pris au jeu de faire des vlogs (tiktok & youtube).

Suite en cours d’écriture. Je vous laisse sur un diaporama de la capitale. Bientôt le texte qui va avec !

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