Le 11 août 2022
Le 11 août 2022
Moi c’est Toine, un nomade utopiste qui rêve de liberté et d’aventures ! Aller viens je t’embarques dans mes galères !
Quand Esteban et moi sommes arrivés à Antigua, la curiosité nous brûlait. Nous avions entendu tant d’éloges à son sujet. On nous parlait d’une ville somptueuse, riche en histoire, avec une architecture coloniale qui te transporte dans une autre époque. Une ville où chaque rue pavée semble raconter une histoire, où les églises en ruines et les bâtiments colorés attirent les voyageurs du monde entier. Mais qu’en est-il vraiment ? Est-ce que la réputation d’Antigua est à la hauteur ? On était impatients de le découvrir par nous-mêmes et de nous laisser surprendre par ce lieu dont tout le monde parle. On va voir ça ensemble dans un avis uniquement perso sur Antigua : L’anti Guatemala.
Qu’on se le dise tout de suite, l’ancienne capitale du Guatemala n’est pas dans mon top des villes latine. J’ai beaucoup aimer l’architecture de la ville et l’aspect coloniale mais il y avait tout de même quelque chose qui n’allait pas à mes yeux. Je n’arrivais pas à savoir quoi mais tout respiré faux. Un peu à l’image de la zone hôtelière de Cancùn situé à quelques rues de la misère.
En revanche, à Antigua, pas de quartier malfamés, miteux, ou dangereux. Tout est calme, paisible et on peut s’y promener la nuit sans vraiment avoir de soucis (Attention je parle toujours d’un avis personnel. Nous sommes deux hommes donc c’est plus facile).
Puis, après réflexion c’est là que j’ai compris ce qui n’allait pas… Le tourisme ! Cette ville transpire le tourisme part tout les pores. Tout y est fait pour eux, même les prix ! Jusqu’à même faire payer l’entrée à des ruines dans un parc !
Alors moi qui aime l’authenticité d’un lieux, vous vous doutez bien que mon séjour à Antigua m’a paru quand même légèrement amer. On ne peut pas s’empêcher de se dire que la ville est hors du temps tellement il y a un fossé qui l’a sépare du reste du pays. J’ai eu l’impression d’avoir changer de pays tout simplement.
Après ce petit billet d’humeur, je vais tranquillement aller siroter un petit coca dans la jolie ville de Escuintla. Je vous dis à bientôt !
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